mardi 4 août 2020

Peindouile / Fabula / Perilous Tales / Battlemats > Un mois de juillet chargé

Salut oueb
Ces dernières semaines ont été prolifiques en terme de geekerie.
Avec Arsenus et Davian, nous avons testé Perilous Tales et Fabula, deux règles respectivement pulp et medfan narratif. J'ai pu barbouiller quelques figs et ai assuré des commandes de mats, également. 

Peinture
Le thème des dernières sessions a été cyberpunk, avec un Syndicate Male de chez EC3D, tiré en 3D résine, pas mal pour représenter un VIP, un scientifique ou autre fig objectif, et ces bâtiments scifi / cyber.






J'ai pu également commencer mes Palanite Enforcers pour Necromunda.
Il me reste 5 enforcers "de base" et 5 subjugators à terminer.



Perilous Tales
Perilous Tales est un jeu coop de Mike Hutchinson de Planet Smasher Games, actuellement en dev, qui se place dans un contexte pulp, entre 1920 et 2020. 
Jeu à scénario, on mène un groupe de héros dans ce qui ressemble à un épisode de série télé (qui à dit 7TV ?). Dans un lieu tiré au hasard ou choisi, chaque scénar comporte 3 objectifs, comme stopper un rituel, libérer des prisonniers, trouver une relique (...) et des vilains à combattre, menés par un boss, tel qu'un loup garou et sa meute, des streums chtuloides, un scientifique fou et ses expériences ratées, un culte vaudou... 

Un système de threats markers disposés sur la map détermine ce que les héros rencontrent (vilains et menaces déterminées par le lieu) ; les ennemis sont contrôlés par une IA.
Chaque perso dispose de 3 caracs (Points de vie, Skill et nombre d'Action points) et d'un ou deux upgrades, des talents spéciaux lui permettant d'entreprendre certaines actions (brute, demolition expert, sneaky...).
Le jeu se joue au D10. C'est simple et pas prise de tête. On lance sa carac de skill en nombre de dés, ainsi qu'un dé déterminant la difficulté de l'action entreprise, point que je n'ai pas trouvé très cohérent pour ma part. A ça se rajoute un système d'avantage et de désavantage, qui influe sur le dé de difficulté.

Au final, on a trouvé tout ça assez moyen. Une seule carac pour effectuer toutes ses actions, moué bof...
Hormis l'upgrade, on a franchement l'impression de tous jouer la même chose... Par contre le système d'IA des ennemis est plutôt bien foutu et décrit, un bon point à retenir. 

Passons à notre partie. Dans une forêt hantée et gardée par un Demon Butcher, nos héros doivent détruire une idole, chasser les démons puis poser des explosifs pour détruire ce lieu môôôôdit. 
Reportage en images, photos d'Arsenus.












Fabula
Ecrit par Ivan et Ana Polanscak, Fabula est un système medfan narratif très proche du jdr. 
Inspiré d'AOS, on y joue du stormcast, des races (elfes, nains, humains, ogres...) et classes (barbare, mage, guerrier, druide, clerc...) classiques et bien connues.

Les héros disposent de 3 caracs : PV, Mouvement et Armure, de skills notées "+" (avec avantage) ou "-" (avec désavantage), de "features", des talents particuliers, d'armes et sorts.
Les règles sont simples et peu originales. On lance 2D6, 3D6 en cas d'avantage ou désavantage (et dans ce cas, on sélectionne les deux meilleurs ou pires dés), pour réaliser ses actions. En cas de combat, celui qui fait le meilleur score l'emporte. Si l'attaquant passe, il détermine ses dégats, au D2 ou D3 suivant l'arme utilisée.

Il est recommandé de jouer avec un MJ, mais une bonne IA menée intelligemment fait l'affaire.
Léger et très ouvert, une partie demande pas mal de préparation en amont : mettre au point un scénario, créer les profils des ennemis / pnj, bien qu'une liste de base soit fournie, etc. La seule difficulté sera de bien doser les ennemis pour que le scénar reste jouable. 
Au final, on a trouvé le jeu intéressant, bien qu'il ne brille pas par ses règles, mais par les possibilités qu'il peut apporter. 

Et notre partie en images. Une sorcière, menant une bande d'orques, nains des profondeurs et autres troglodytes, a investi un petit village et massacré ses habitants. Ce village s'avère être un lieu de pouvoir, où elle peut accomplir son rituel ignôôôble. Nos mercenaires sont envoyés arrêter le rituel et mettre fin à ses jours, afin de libérer d'éventuels survivants.
Arsenus joue un barde nain bourrin accompagné de deux suivants, Davian, un chevalier, un moine à l'arbalète redoutable et une ranger. Pour ma part, je dirige un ogre barbare, un fighter humain moisi et une druidesse capable de changer en ours.















Battlemats
Pour finir, j'ai pu travailler sur différentes commandes de mats : une mat Scarif Star Wars Legion pour un particulier ; un monde façon Necron pour l'Atelier de Torek, à l'occasion de la sortie de la V9 de 40K ; et un custom de taille du Dark Temple pour Victor de Coloured Dreams.






Ainsi que quelques-unes de mes mats imprimées.





A+

3 commentaires:

  1. Superbe Boulot ! Tant bien en peinture qu'en mats. Je bosse dans l'impression 3d et ton rendu est Vraiment bien !

    Amitié
    KéHenCo

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  2. Bien sympa tout ça, je me disais bien que Perilous Tales me rappelais quelque chose, j'ai lu la critique sur un autre blog francophone !

    Quel est l'aspect jdr exactement à Fabula?

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    Réponses
    1. On l'a joué tranquille en gérant l'IA des bestioles mais il est conseillé de jouer avec un MJ.
      Il y a pas mal de préparation au niveau du scénario.
      A la lecture, on sent un côté JDR avec figs.

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